Berdi Kramers est maman de deux enfants, créative dans l’âme, et une force discrète derrière les coulisses de Wildride. Ses journées oscillent entre le réel et l’imaginaire — moments de parentalité capturés à travers son objectif, longues balades sans but précis, et la conviction que la nature peut recentrer à la fois les parents et les enfants.

Avant de rejoindre l’équipe de Wildride, Berdi incarnait déjà son esprit. Ce qui a commencé avec un été et un porte-bébé s’est transformé en quelque chose de plus profond : une manière de vivre la maternité avec liberté, humour, et un brin de stratégie.

Nous avons parlé avec elle de rituels du soir, de surprises parentales, et de ces petits moments qui comptent le plus.

Parle-nous un peu de toi.

Je suis Berdi. Maman de Billy (7 ans) et Jack (4 ans), créatrice de contenu, passionnée de chevaux, et désormais membre de l’équipe Wildride. C’est encore un peu irréel. J’ai toujours aimé partager le joyeux désordre de la vie de famille, surtout à travers la photo et de petites observations.

Être dehors est essentiel pour nous. Ça me vide la tête et change l’énergie quand la maison devient trop bruyante. Chez Wildride, j’encourage d’autres parents à faire de même — sortir, explorer, et ne pas chercher la perfection. C’est en phase avec ma manière de vivre et d’élever mes enfants.

Sortir, explorer, et ne pas chercher la perfection.

Quelle aventure t’a fait tomber amoureuse de Wildride ?

Nous avons passé un long été en Espagne, et le porte-bébé Wildride s’est avéré indispensable. Promenades avec le chien, balades sur la plage, sentiers accidentés. Plus besoin de poussette. Je l’ai emporté à la dernière minute, sans savoir à quel point on l’utiliserait, et il s’est révélé essentiel.

Quand les petites jambes fatiguaient, j’avais la solution. J’ai commencé à créer du contenu avec Jack et moi portant le porte-bébé, simplement pour partager notre enthousiasme. Cette joie s’est transformée en quelque chose de plus grand.

D’utilisatrice à membre de l’équipe. C’est venu naturellement. Aujourd’hui, je peux partager un produit auquel je crois vraiment et aider d’autres parents à découvrir combien les sorties peuvent être plus simples et plus agréables avec Wildride.

C’est ça, un vrai wild ride.

Quel est le dernier mot de ton enfant qui t’a fait rire ?

À la ferme pédagogique, Jack a vu une chèvre avec une petite étiquette à l’oreille. Il m’a regardée très sérieusement et m’a demandé :
« On peut acheter celle-là ? »
J’ai hésité un instant avant de répondre, parce que j’étais vraiment tentée.

Qu’est-ce qui t’a le plus surprise dans la parentalité ?

Un moment tu bois ton café tranquillement, et l’instant d’après ton enfant te demande :
« Alors… c’est quand que j’ai mon cheval ? »
Elle l’avait déjà annoncé à tout le monde, des voisins à l’enseignante.

Et puis tu te surprends à dire exactement les mêmes phrases que ta mère : « On n’a pas un arbre à billets », « Ce n’est pas un restaurant ici », mais aussi « Parce que je l’ai dit », « Je ne suis pas fâchée, je suis déçue », ou « On part dans cinq minutes » pour la 37e fois, sans même t’en rendre compte.

Quel est ton astuce pour le coucher ?

Je laisse les enfants dormir ensemble dans un grand lit. Ça me facilite tellement la vie. On commence avec une histoire, une petite chanson, la routine classique. Mais si ça ne marche pas et qu’ils ne sont plus fatigués, je me glisse simplement entre eux.

C’est de toute façon le lit le plus confortable de la maison, donc je dors bien moi aussi. Honnêtement, c’est moins de la parentalité que du co-sleeping stratégique.

Qu’est-ce qui t’ancre le plus dans la parentalité au quotidien ?

Savoir que tout n’a pas besoin d’être résolu immédiatement. Qu’il est possible de faire une pause, de ne pas avoir toutes les réponses. J’essaie de laisser les enfants ressentir ce qu’ils ressentent, même si c’est bruyant ou chaotique.

Et je me rappelle que l’humour résout plus que le contrôle.

À travers ses rituels simples et ses détours spontanés, Berdi apporte du calme au tumulte du quotidien familial. Son histoire nous rappelle qu’il n’existe pas une seule bonne façon d’élever ses enfants — juste celle qui vous ressemble, avec de la place pour le rire, la créativité et quelques bonnes siestes.